vendredi 15 juin 2007

Si avec tout çà je ne retrouve pas ma crinière de mes 20 ans, c'est à pleurer !

Il a fallut que j'aille à Paris, rue de Buci, pour redécouvrir ces délicieux onguents pour cheveux en déroute. Et apprendre, au moment où je passais à la caisse, que je pouvais les trouver à côté de chez moi à La Praille !
Mais ce qui est vient de Paris a ce petit air "femme de footballeur" qui ne manque pas de charme, et puis à côté c'est tout de même l'étranger qui implique papiers d'identité, et monnaie différentes !

Et pendant ce temps, mes enfants découvrent, avant moi, la petite maison de l'île d'Oléron.

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