16-08-2012 21h46 |
Que j’aime à contempler dans cette anse écartée
La mer qui vient dormir sur la grève argentée,
Sans soupir et sans mouvement !
Le soir retient ici son haleine expirante,
De crainte de ternir la glace transparente
Où se mire le firmament.
Alphonse de Lamartine (harmonies poétiques)
2 commentaires:
Merci pour ce beau partage: un peu de poésie dans ce monde agité cela fait tant de bien!
Lamartine, un des rares bons souvenirs de ma scolarité :D
Enregistrer un commentaire