Liane Moriarty - un peu, beaucoup, à la folie
Après avoir lu Le sort tomba sur le plus jeune, j'avais eu besoin de lire facile et après le livre de Jonasson qui m'avait déçue, je pensais qu'étant donné que les deux précédents de cette autrice m'avaient plut, ce serait parfait. Mais on patauge dès le début, sans savoir vraiment où l'on va. L'histoire de trois couples, apparemment un barbecue qui s'est mal passé, on va d'un couple à l'autre, d'un moment à l'autre, cela pourrait être bien, mais non. Voilà, la fin est égale au livre, sans intérêt.
Genki Kawamura - Et si les chats disparaissaient du monde…
La couverture évidemment, avait attiré mon attention, mais il a fallu que j'aille avec C. faire un tour à la librairie, qu'elle me le désigne sur la pile proposée, pour que je me décide. Tout petit livre, si jamais il me tombait des mains, je pourrai au moins regarder avec plaisir le petit chat noir de la couverture.
Et puis je l'ai ouvert, et ne l'ai plus lâché. Le narrateur apprend qu'il va mourir, il n'a plus que quelques jours croit-il à vivre. Le diable qui l'attend chez lui, lui apprend que ce ne sont que quelques heures en réalité, mais lui propose un marché. S'il accepte que soit effacé définitivement une chose sur terre, cela lui donnera vingt quatre heures supplémentaires. Je n'en dis pas plus, simplement que cela mêne le narrateur à des réflexions profondes sur ce qu'est la vie, l'amour, l'importance des choses. Et que j'ai totalement aimé ce livre. Je l'ai lu en édition de poche, l'édition originale portait comme titre Deux milliards de battements de coeur.
Madeleine Reiss - S'il fallait se dire adieu
Le livre qui fait pleurer même si vous savez que vous allez tout faire pour ne pas pleurer… L'histoire résumée est celle d'un jeune homme de 19 ans qui a un cœur en bout de course et qui sachant qu'il va mourir, fait tout pour trouver un compagnon à sa mère qui l'a élevé seule, s'est battue pour qu'il vive et dont il craint qu'elle ne survivra pas à sa mort. C'est un roman simple, mais pas mal écrit, et parfait si vous avez envie d'une histoire triste.
Christina Dalcher - Quand parler tue
Evidemment je n'ai pu m'empêcher de faire le parallèle avec la servante écarlate, autre roman dystopique. La religion, encore et toujours, dicte maintenant ses règles aux américains des Etats Unis. La femme a été contrainte de retourner dans son foyer familial, jusque là tout est normal, mais est également muselée. Un bracelet compte le nombre de mots dits dans la journée, qui ne doivent pas dépasser 100. Jean McClellan était docteure en neurosciences, coincée dans sa fonction de mère au foyer, elle est appelée par le président dont le frère vient de faire une attaque cérébral, pour tenter de le sauver. La récompense qui en découlerait serait de lui redonner la possibilité de dépasser son quota de mots. C'est simple, je n'ai pas lâcher le livre de tout mon dimanche, au soleil, laissant les tâches ménagères en plan.
Arnaldur Indridason - Ce que savait la nuit
Je ne sais si je me lasse de cet auteur, s'il a un peu baclé son livre, si l'histoire est un peu trop semblable à ce que j'ai déjà lu de lui. Non pas que ce soit un mauvais livre, mais je l'ai lu sans franchement m'y passionner. Je ne déconseille ou ne conseille pas ce livre. Je reste malgré tout une fan de la première heure de Indridason.
Franck Bouisse - Né d'aucune femme
Magnifique livre ! Bouleversant ! S'il y a un livre que j'aimerai faire aimer, c'est celui là. Les mots ne peuvent rendre compte de la beauté de ce livre.
Une jeune femme, dans un confessionnal, demande au prêtre de la paroisse, lorsqu'il sera appelé pour bénir le corps d'une femme à l'asile, de récupérer, sans que cela se sache, des cahiers cachés sous la robe de la morte, racontant la vie de celle-ci.
Céleste NG - La saison des feux
Le premier livre que j'avais lu d'elle m'avait déjà beaucoup plu. Celui-ci est également vraiment bien. L'histoire démarre par un feu qui détruit une maison sous l'œil de la famille qui l'habitait. Petit à petit, revenant en arrière, l'histoire se construit, complexe et très bien ficelée. Roman-polar, qui se dévore.
Genki Kawamura - Et si les chats disparaissaient du monde…
La couverture évidemment, avait attiré mon attention, mais il a fallu que j'aille avec C. faire un tour à la librairie, qu'elle me le désigne sur la pile proposée, pour que je me décide. Tout petit livre, si jamais il me tombait des mains, je pourrai au moins regarder avec plaisir le petit chat noir de la couverture.
Et puis je l'ai ouvert, et ne l'ai plus lâché. Le narrateur apprend qu'il va mourir, il n'a plus que quelques jours croit-il à vivre. Le diable qui l'attend chez lui, lui apprend que ce ne sont que quelques heures en réalité, mais lui propose un marché. S'il accepte que soit effacé définitivement une chose sur terre, cela lui donnera vingt quatre heures supplémentaires. Je n'en dis pas plus, simplement que cela mêne le narrateur à des réflexions profondes sur ce qu'est la vie, l'amour, l'importance des choses. Et que j'ai totalement aimé ce livre. Je l'ai lu en édition de poche, l'édition originale portait comme titre Deux milliards de battements de coeur.
Madeleine Reiss - S'il fallait se dire adieu
Le livre qui fait pleurer même si vous savez que vous allez tout faire pour ne pas pleurer… L'histoire résumée est celle d'un jeune homme de 19 ans qui a un cœur en bout de course et qui sachant qu'il va mourir, fait tout pour trouver un compagnon à sa mère qui l'a élevé seule, s'est battue pour qu'il vive et dont il craint qu'elle ne survivra pas à sa mort. C'est un roman simple, mais pas mal écrit, et parfait si vous avez envie d'une histoire triste.
Christina Dalcher - Quand parler tue
Evidemment je n'ai pu m'empêcher de faire le parallèle avec la servante écarlate, autre roman dystopique. La religion, encore et toujours, dicte maintenant ses règles aux américains des Etats Unis. La femme a été contrainte de retourner dans son foyer familial, jusque là tout est normal, mais est également muselée. Un bracelet compte le nombre de mots dits dans la journée, qui ne doivent pas dépasser 100. Jean McClellan était docteure en neurosciences, coincée dans sa fonction de mère au foyer, elle est appelée par le président dont le frère vient de faire une attaque cérébral, pour tenter de le sauver. La récompense qui en découlerait serait de lui redonner la possibilité de dépasser son quota de mots. C'est simple, je n'ai pas lâcher le livre de tout mon dimanche, au soleil, laissant les tâches ménagères en plan.
Arnaldur Indridason - Ce que savait la nuit
Je ne sais si je me lasse de cet auteur, s'il a un peu baclé son livre, si l'histoire est un peu trop semblable à ce que j'ai déjà lu de lui. Non pas que ce soit un mauvais livre, mais je l'ai lu sans franchement m'y passionner. Je ne déconseille ou ne conseille pas ce livre. Je reste malgré tout une fan de la première heure de Indridason.
Franck Bouisse - Né d'aucune femme
Magnifique livre ! Bouleversant ! S'il y a un livre que j'aimerai faire aimer, c'est celui là. Les mots ne peuvent rendre compte de la beauté de ce livre.
Une jeune femme, dans un confessionnal, demande au prêtre de la paroisse, lorsqu'il sera appelé pour bénir le corps d'une femme à l'asile, de récupérer, sans que cela se sache, des cahiers cachés sous la robe de la morte, racontant la vie de celle-ci.
Céleste NG - La saison des feux
Le premier livre que j'avais lu d'elle m'avait déjà beaucoup plu. Celui-ci est également vraiment bien. L'histoire démarre par un feu qui détruit une maison sous l'œil de la famille qui l'habitait. Petit à petit, revenant en arrière, l'histoire se construit, complexe et très bien ficelée. Roman-polar, qui se dévore.
8 commentaires:
Je ne connais pas du tout Franck Bouysse, je croise pas mal son nom sur différents blogs, je vais voir de plus près.
Je lis beaucoup, beaucoup, un peu tout et n'importe quoi me tombant sous la main. De mes lectures relativement récentes, je conseille : Le lambeau de Philippe Lançon d'une part et Mille ans après la guerre de Carine Fernandez d'autre part.
Merci beaucoup de vos notes de lecture nous incitant à découvrir de nouveaux auteurs et nouvelles autrices.
A bientôt.
J'ai découvert Franck Bouysse grâce à samantdi http://samantdi.net/notesdelecture/post/2019/03/02/Glaise%2C-de-Franck-Bouysse; Je viens de commencer "Glaise" enfin disponible à la médiathèque; je suis conquise par cet auteur; j'ai réservé "Né d'aucune femme" et au vu de ce que tu en dis,j'ai hâte qu'il soit disponible !
Chantal, j'allais te dire que je découvrais son nom quand Ginou m'a rappelé le billet de Samantdi que j'avais lu, mais je n'avais pas du tout fait le rapprochement, je suis une mémoire volatile pour ce qui est des noms des auteurs. J'ai lu le Lambeau lorsqu'il est sorti, je l'ai aussi beaucoup aimé. Je ne connais (je crois) pas Carine Fernandez, je vais me le noter :)
Ginou, du coup je vais aller à ma Bibliothèque où je viens de m'inscrire, pour voir s'ils l'ont :D
Ta critique de "Demain les chats" m'amuse plutôt.
Bleck
Je passe de temps en temps voir si vous avez écrit un nouveau texte ou s'il y a de nouveaux commentaires. Déçue, je suis. Je blague bien sûr, vous me manquez et sûrement pas qu'à moi.
J'espère que vous allez bien, vos proches aussi et que plein d'occupations passionnantes vous tiennent éloignée de votre blog.
Peut-être le savez-vous : le livre de Franck Bouysse fait partie des livres retenus pour le prix du Livre Inter.
A bientôt peut-être.
Bonjour, Hello, Coucou, ça m'inquiète un peu qu'il n'y ait plus de "posts" depuis bientôt 1 mois et demi ! J'aime tellement vous lire. J'espère que vous allez bien (vraiment). A bientôt.
Nathalie de Nancy (mémère à chats). Amicalement
Je viens de lire votre com chez Valvita où vous parlez de votre crainte de virer "vieille aigrie". Alors là, si vous devenez ainsi, je me demande bien comment seront les autres, moi incluse.
Désolée que ce soit difficile pour vous en ce moment. Cet automne/hiver, j'ai traversé une période où tout -j'exagère- pesait, demandait un effort, j'étais fatiguée, beaucoup de changements au boulot. Comme je suis contente d'en être sortie. Je souhaite que ce soit bientôt votre tour.
Je vous embrasse bien affectueusement.
Chantal
Coucou Valérie! Comme d'autres je m'inquiète de ton long silence...
Encouragée par ta critique enthousiaste j'ai lu "Né d'aucune femme" bouleversant, certains passages vraiment noirs. Très beau roman.
A bientôt j'espère !
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