Et même s'il est difficile en ce moment de garder mon optimisme, c'est mon devoir de l'être, absolument, par dessus tout, diriger mon moral vers le haut, coûte que coûte.
Lever les yeux, regarder les nuages courir et les oiseaux voler dans les ascendances. Les feuilles qui virevoltent en tombant au sol, les flocons légers et au fond les Alpes qui lentement redeviennent blanches.
Attarder le regard sur les lumières qui illuminent les fenêtres, respirer l'air glacé qui transporte les fumées de bois.
Et puis il y a ces hommes, ces femmes qui racontent leur nuit de novembre, les larmes qui se bloquent au fond de la gorge, il y a leurs sourires, leur force.
Des bouquets allongés, l'un sur l'autre, les bougies, les mots qui frissonnent dans les bourrasques hivernales.
4 commentaires:
Ici les choses tournent très rapidement au cauchemar alors qu'il n'est même pas encore président... alors je n'ai mis personne au monde mais en temps que prof, je dois aussi garder la foi dans l'avenir ET soutenir tous ceux qui souffrent et vont encore souffrir longtemps, et éduquer, éduquer, éduquer...
Oui c'est vraiment cela qui pourra sauver le monde.
Je m'accroche à cette idée qu'il faut garder espoir malgré tout, et que la seule chose que je puisse faire pour ne pas me sentir impuissante, c'est d'agir à mon niveau, quand bien même parfois cela peut sembler dérisoire.
Oui Mel, même sans faire des trucs incroyables, mais comme le dit Dr CaSo éduquer déjà, c'est énorme.
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