mardi 14 avril 2015

Et merde !

N'ayant  hier soir, malgré quelques messages de plus en plus pressants, reçu de nouvelles de mes deux voyageurs, j'ai, vers vingt et une heure, appelé aux Comores. La voix un peu confuse de ma fille m'a alertée illico, et ses bredouillages m'ont confirmé ce que je n'osais imaginer, la perte de la fameuse valise, neuve,  qui vaut son pesant de cacahouètes.

Elle avait beau dire qu'il était absolument inutile de m'inquiéter, je voyais pour ma part défiler un nombre incalculable de facturettes débitées pour nada queue de couette. Oui je suis un peu pingre sur ce coup, et bien que je préfère nettement que ce soit la valise qui se soit évanouie dans les airs plutôt qu'un de mes gamins, là à l'instant, je râle contre cette compagnie coutumière du fait et très mal notée par ses passagers.

Il n'y a plus qu'à croiser les doigts, faire une petite séance de yoga et implorer le dieu des bagages perdus accompagné de sainte Rita (*) pour que la belle valise blanche soit rapidement rapportée à bon port.

J'aurais dû écouter JP qui voulait que nous allions ensemble, allumer une bougie pour éviter cela !

(*) Allez, pour la peine je rajoute St Antoine, cela ne peut pas faire de mal !

3 commentaires:

Mel a dit…

Je croise tous les doigts y compris les doigts de pied pour que cette valise refasse surface !

L azimutée a dit…

J'allais dire, Saint Antoine se débrouille pas mal en général, et j'ai vu l'astérisque.

Puisqu'on y est, on peut aussi s'en remettre à Saint Christophe, patron des voyageurs. ;)

Ou croiser les doigts.

On y croit !

Valérie de Haute Savoie a dit…

Mel et L azimutée, nous avons dû être entendues. La valise bien que loin d'être arrivée à bon port, est repérée du côté de Nairobi. Il n'y a plus qu'à l'acheminer jusqu'à Anjouan...