Elle s'est approchée, l'a regardé tendrement, caressé les cheveux, s'est penchée et a pris sa tête dans ses bras. L'un et l'autre si près, lui cireux, elle si petite. Elle a baisé son visage avec tant d'amour.
A bientôt lui a t-elle murmuré.
Sa douleur m'a submergée. Petit bout de femme, si rude à la vie, qui disait adieu à soixante ans d'amour. Autour d'elle se serraient ses enfants, leurs enfants. Et parmi ces enfants, mon mari infiniment triste, infiniment digne.
16 commentaires:
Je pense bien à vous.
Oh Valérie, toutes mes condoléances... comme je le redoute ce moment où l'on devra peut être se dire au revoir pour toujours et dire adieu à l'amour de sa vie... et apprendre à vivre seule, autrement... tendres pensées pour toi et les tiens
Je suis désolée et je pense très fort à vous tous.
Pensées...
Toutes mes pensées les plus affectueuses... Je vous embrasse
samantdi
Que dire de plus ? C'est infiniment touchant, ce que tu racontes.
De tout coeur avec vous...
Free hugs...
:(
plein de bisous
Sincères condoléances, triste pour vous.
Toutes mes condoléances, Valérie, je pense fort à vous.
Merci à vous pour vos pensées.
La rentrée est un peu sportive, je reviens bientôt sur ce blog.
Mes condoléances. Très bel hommage délicat et sensible
Merci marie-madeleine :)
Ça va Valérie ?
Mel oui ça va, même bien, mais j'ai du mal à retrouver le chemin du blog ;)
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