Ma spécialité culinaire c'est : la constante revisitation des recettes.
Aujourd"hui la tellement revisitée de " les choux de Bruxelles aux saucisses épicées italiennes du Dr CaSo " qu'il n'y a plus ni choux ni saucisse !
Mais pour comprendre comment j'en suis arrivée là, voyons rapidement le parcours de ladite recette, qui est, il est vrai, une tuerie absolue.
Nous étions parties, ma fille tout juste arrivée de son île lointaine et moi, en quête d'une saucisse épicée italienne. Chez le boucher point de saucisse italienne, mais une grosse longeole (prononcer longeaule) très tentante. Des choux bien croquants et roule ma poule. Nous avons défait la saucisse, fait tout comme le décrivait Dr CaSo et nous nous sommes régalés. A Noël même, nous en avons fait le plat principal pour les 13 gourmands rassemblés - (1/2 longeole par personne, et ce n'était pas de trop).
Puis, un jour où le choux venait à manquer sur les marchés, j'ai trouvé dans le réfrigérateur des endives. Mais pourquoi pas ? Va donc pour des endives aux longeoles. Un autre jour ce sont les longeoles qui étaient absentes chez le boucher, ce sont donc les seuls choux au vinaigre, miel et graines de fenouil qui nous ont régalés.
Et tout dernièrement, alors que Jp était parti voir son père hospitalisé dans les Vosges, je me suis fait plaisir, vite vite à midi, en dégustant des endives à la presque Dr CaSo.
Faire fondre dans un wok une grosse cuillerée de miel (thym ou montagne) dans un bon demi verre de vinaigre de miel (petit goût de chouchen assuré) sur feu moyen, ajouter quelques graines de fenouil.
Pendant ce temps, couper finement en rondelles les endives et les jeter dans le wok, couvrir un temps pour les laisser fondre. Lorsque les endives sont transparentes, retirer le couvercle pour que le jus s'évapore et que les endives caramélisent un peu. Je rajoute à la fin un morceau de beurre, c'est une merveille.
Il n'y a qu'une recette que je n'ai pas le droit de changer sous peine de révolution au bureau, c'est celle de la brioche aux pralines que j'emporte chaque vendredi.
Bon appétit et bon week end!
Aujourd"hui la tellement revisitée de " les choux de Bruxelles aux saucisses épicées italiennes du Dr CaSo " qu'il n'y a plus ni choux ni saucisse !
Mais pour comprendre comment j'en suis arrivée là, voyons rapidement le parcours de ladite recette, qui est, il est vrai, une tuerie absolue.
Nous étions parties, ma fille tout juste arrivée de son île lointaine et moi, en quête d'une saucisse épicée italienne. Chez le boucher point de saucisse italienne, mais une grosse longeole (prononcer longeaule) très tentante. Des choux bien croquants et roule ma poule. Nous avons défait la saucisse, fait tout comme le décrivait Dr CaSo et nous nous sommes régalés. A Noël même, nous en avons fait le plat principal pour les 13 gourmands rassemblés - (1/2 longeole par personne, et ce n'était pas de trop).
Puis, un jour où le choux venait à manquer sur les marchés, j'ai trouvé dans le réfrigérateur des endives. Mais pourquoi pas ? Va donc pour des endives aux longeoles. Un autre jour ce sont les longeoles qui étaient absentes chez le boucher, ce sont donc les seuls choux au vinaigre, miel et graines de fenouil qui nous ont régalés.
Et tout dernièrement, alors que Jp était parti voir son père hospitalisé dans les Vosges, je me suis fait plaisir, vite vite à midi, en dégustant des endives à la presque Dr CaSo.
Faire fondre dans un wok une grosse cuillerée de miel (thym ou montagne) dans un bon demi verre de vinaigre de miel (petit goût de chouchen assuré) sur feu moyen, ajouter quelques graines de fenouil.
Pendant ce temps, couper finement en rondelles les endives et les jeter dans le wok, couvrir un temps pour les laisser fondre. Lorsque les endives sont transparentes, retirer le couvercle pour que le jus s'évapore et que les endives caramélisent un peu. Je rajoute à la fin un morceau de beurre, c'est une merveille.
Il n'y a qu'une recette que je n'ai pas le droit de changer sous peine de révolution au bureau, c'est celle de la brioche aux pralines que j'emporte chaque vendredi.
Bon appétit et bon week end!
9 commentaires:
J'aime l'idée de la dérive des recettes. J'ai toujours du mal à les suivre à la lettre et j'aime bien en mélanger plusieurs. Bien sûr, quand le résultat est réussi, je suis souvent incapable de la refaire à l'identique ! :-)
Mais c'est que tu me donne faim!!!
Mel, c'est pour cela que je trouve étonnant les personnes qui n'aiment pas cuisiner, c'est souvent très amusant non ?
Anne, et toi tu me donnes des envies de balades dans la nature qui se réveille, accompagnée de ton gros chien débonnaire. Oui je viens te lire chaque jour, mais souvent je lis depuis mon iphone et du coup j'ai la flemme de laisser un mot :)
:)
Hehe, contente de t'avoir inspirée :) faut que j'essaye avec les endives!
Attends attends, tu parles de choux de Bruxelles... "bien croquants" ???? My god c'est quoi c'te histoire hérétique oO'
Dr CaSo en lisant le commentaire de DDC je réalise que ces deux légumes sont de la même région /D normal que cela fonctionne alors !
DDC tu passes les choux de bruxelles à la rappe comme pour le concombre, et tu les cuits pour qu'ils restent croquants, un délice je te dis !
Et moi en gourmande que je suis, je sors de mon silence de lectrice fidèle parce que je voudrais bien...la recette de la brioche aux pralines!!!
Clara, la recette est celle d'une brioche toute bête (tu peux tout à fait prendre la farine toute prête de francine brioche campagnarde ou une autre d'une autre marque), tu l'as fait monter une première fois (j'utilise la fonction pâte à lever de la machine à pain) puis tu l'abaisses et tu parsème de pas mal de prâlines concassées. Ensuite tu roules délicatement comme pour faire un biscuit roulé, et tu la fais remonter une deuxième fois une demie-heure. Tu la badigeonnes d'un jaune d'oeuf et tu la mets au four 180° - 25 minutes. C'est d'une simplicité incroyable, mais toutes mes collègues à qui je donne cette recette n'y arrivent pas. Mon four magique (Siemens électrique) doit être le responsable de cette réussite systématique.
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