Il suffit de prendre son vélo, ne pas oublier son appareil photo et bien sûr l'iphone. Un short, tee-shirt et tongs, quelques euros pour les arrêts bistrot ou achats importants, tel qu'une bouteille de pineau et l'on peut démarrer la balade. Pas de pentes hormis les quelques dénivellations au hasard des chemins s’enfonçant dans les terres. En septembre les routes sont vides ou presque et c'est un vrai bonheur de pédaler sous le soleil.
Les animaux tranquilles nous regardent passer sans bouger.
Les chevaux broutent sagement
Et les cygnes glissent lentement dans le sens du vent
Quelques moulins sans ailes, abandonnés par les vacanciers témoignent fièrement d'un passé où une soixantaine parsemaient l'île.
Dix sept parmi lesquels celui-ci
Surmonté du coq (tiens, mais c'est mon signe chinois !).
et son mécanisme rongé par le vent salé
Et pour finir, nos deux vélos,
Le mien avec son panier en osier dans lequel je trimballe durant toutes les vacances mes indispensables
Et celui de JP, panier d'acier
8 commentaires:
Une île, des vaches, des chevaux, des cygnes, dix sept moulins.... mécéhouça ?
Moi, mon signe chinois c'est le chat ! :)
Oléron !
"Panier d'acier", ça ferait un chouette nom indien ça :D
Merci Philoo :o) grâce à toi Lancelot n'a pas dû attendre que je réponde.
DDC Effectivement :o)
Superbe balade :)
Il y manque les odeurs Dr CaSo
C'est marrant on dirait ma Nollandie, ma bicyclette, mes promenades. :)
Ca fait un drôle d'effet que de trouver un billet que l'on aurait presque pu poster soi-même sur un blog à des centaines de kilomètres de là.
Une jolie promenade d'ailleurs.
Tippie il manque les tulipes tout de même non ?
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