jeudi 6 août 2009

...

Alors que nous défaisions nos valises encore pleines d'odeurs marines, deux de mes locataires, deux tout jeunes adultes mourraient sur l'autoroute, à quelques minutes de chez nous.

Ce n'est qu'hier que je l'ai su, hier un peu avant dix huit heures. Et je pense à ces parents qui vont devoir maintenant apprendre à vivre sans eux.

En rentrant la maison était calme, JP absorbé par son écran, G. en vadrouille, tout content de pouvoir un peu prendre l'air après ces trois semaines familiales... j'avais envie de le voir, l'embrasser...

Comme cette vie est courte et parfois si brutale...

4 commentaires:

Jipes a dit…

Une pensée pour eux :o( Ca me fait peu de savoir que bientôt mon fils sera au volant et risqueras lui aussi sa vie . Rien de pire que survivre à ses enfants !

Comme quoi c'est vrai qu'il faut apprécier le temps qu'il nous est donné ici bas san rêver d'un paradis virtuel mais plutôt saisir les joies terrestres et en jouir en hédoniste décompléxé

Madeleine a dit…

Perdre un enfant est certainement la pire chose qu'une mère ou un père puisse vivre !
Oui des pensées pour ces familles là que tu as côtoyées et aussi malheureusement pour tant d'autres tous les jours !

Beo a dit…

Oh.... que c'est triste!

karmara a dit…

Lorsqu'une telle tragédie survient autour de nous, ou lorsqu'on lit un fait-divers impliquant un enfant, on est toujours bouleversé en songeant aux nôtres… Que la vie semble fragile, parfois !