A midi je finissais ma période d'essai tronquée. J'avais, ce matin en arrivant, donné en main propre ma lettre de "démission", j'ai tenu mes engagements, ne pas laisser la place vacante et former ma remplaçante. Maintenant je n'ai plus qu'à trouver un nouvel emploi.
A dix sept heures j'avais rendez-vous avec G. chez le médecin. Il avait besoin d'un certificat médical pour le volley, de se faire vacciner contre la grippe et, puisque mon emploi du temps le permettait, j'en ai profité pour discuter avec le Dr R. de la transmission du suivi de G.
G. continue à grandir, il a maintenant un mètre quatre vingt, JP se tient de plus en plus droit, il n'a aucune envie de se faire dépasser. Pour moi cela fait longtemps qu'avec mon un mètre soixante huit je suis "la petite".
Sur le chemin du retour j'ai demandé à G. s'ils avaient lu la fameuse lettre. Oui vite fait dix minutes avant la fin. Le professeur d'histoire leur a expliqué rapidement qu'elle avait été écrite par un jeune résistant qui avait été arrêté alors qu'il distribuait des tracts, puis il a demandé à un des élèves qui venait juste de se fourrer un bonbon en bouche de la lire et qui a eu toute les peines du monde à ne pas baver. Voilà, c'est tout !
Chamade est venue nous saluer, les yeux encore tout mouillés de sommeil.
Je suis allée faire un tout sur Gmail, mais pas de nouvelle de C.
Demain JP part à jeun à Lyon pour des examens médicaux, il ne pourra donc pas prendre son médicament qui soulage un peu ses douleurs, ni boire de café... pourvu qu'il ne s'endorme pas au volant.
J'ai repris mon euphytose.
A dix sept heures j'avais rendez-vous avec G. chez le médecin. Il avait besoin d'un certificat médical pour le volley, de se faire vacciner contre la grippe et, puisque mon emploi du temps le permettait, j'en ai profité pour discuter avec le Dr R. de la transmission du suivi de G.
G. continue à grandir, il a maintenant un mètre quatre vingt, JP se tient de plus en plus droit, il n'a aucune envie de se faire dépasser. Pour moi cela fait longtemps qu'avec mon un mètre soixante huit je suis "la petite".
Sur le chemin du retour j'ai demandé à G. s'ils avaient lu la fameuse lettre. Oui vite fait dix minutes avant la fin. Le professeur d'histoire leur a expliqué rapidement qu'elle avait été écrite par un jeune résistant qui avait été arrêté alors qu'il distribuait des tracts, puis il a demandé à un des élèves qui venait juste de se fourrer un bonbon en bouche de la lire et qui a eu toute les peines du monde à ne pas baver. Voilà, c'est tout !
Chamade est venue nous saluer, les yeux encore tout mouillés de sommeil.
Je suis allée faire un tout sur Gmail, mais pas de nouvelle de C.
Demain JP part à jeun à Lyon pour des examens médicaux, il ne pourra donc pas prendre son médicament qui soulage un peu ses douleurs, ni boire de café... pourvu qu'il ne s'endorme pas au volant.
J'ai repris mon euphytose.
2 commentaires:
La lettre a été lu au lycée de ma fille. Son commentaire ce soir " c'était nul j'ai rien compris et en plus il lisait mal" pas de suivi par les prof ni avant la lecture ni aprés. Nous en avons parler un peu entre nous. A Bientôt.
Nous en avions parlé en famille la première fois où elle avait été lue en public et où justement il avait été décidé qu'elle serait lu dans les écoles, cela avait apparemment intéressé mon fils. Et là je crois bien qu'il n'a fait aucun cas de la lettre.
Hier, l'émission "là-bas si j'y suis" consacrée aux lettres de résistants étaient bouleversante et je me disais que c'est cela que l'on devrait faire entendre aux élèves.
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