Je ne sais plus de quand date le rituel lié à mes vacances de bord de mer, mais cela fait un petit paquet d'année que, dès mon arrivée sur le lieu de notre villégiature, je me plonge dans un polar.
Souvent je découvre le nouveau Cornwell ou Mc Donald, mais cette année j'avais anticipée mon "évasion" plus tôt pour sortir de mon angoisse liée à mes problèmes professionnels et je n'avais plus rien à découvrir de ce côté là.
Le rayon thrilleur du Leclerc de St Pierre d'Oléron offrait surtout les inévitables Mary Higgins Clark, les 2 ou 3 Cornwell déjà lus et un auteur inconnu (pour moi) suédois, va pour Mankell donc. Je jettes au fond du caddie "la cinquième femme" suivi des croissants, du nutella pour mon neveu très gourmand, de quoi faire un bon apéro et l'indispensable Pineau des Charentes sans qui les vacances ne seraient pas de vraies vacances.
Pendant que les deux garçons faisaient un premier tour à la plage, je profitais de ma solitude pour, sur un transat au soleil dans la petite cour, me plonger dans mon livre. Très loin de Cornwell, Reich and Co, j'ai tout de suite accroché à l'univers du commissaire Kurt Wallander. Il est aux antipodes des personnages glamours et charismatiques, tâtonnant, partant dans de mauvaises directions, mangeant mal et buvant trop.
Dès que je l'ai fini, je me suis attaquée à "Meurtriers sans visage" suivi très vite de "L'homme qui souriait" puis "La lionne blanche", "Le retour du prof de danse", "Les morts de la St Jean" et j'ai terminé au retour "La muraille invisible". Il m'en reste quelques uns à lire... plus tard.
Pour me remercier d'avoir emmené son fils à Oléron, ma belle-soeur m'a envoyé deux livres qui prendront le relais - La maison des célibataires de Jorn Riel, et A livre ouvert de William Boyd, mais là tout de suite, je vais feuilleter le Marie Claire que j'ai acheté pour me redonner un peu l'envie d'être coquette (pffff) et me délecter en finissant le Canard de mercredi. Tout çà au soleil sur mon balcon pour maintenir mon bronzage estival.
Souvent je découvre le nouveau Cornwell ou Mc Donald, mais cette année j'avais anticipée mon "évasion" plus tôt pour sortir de mon angoisse liée à mes problèmes professionnels et je n'avais plus rien à découvrir de ce côté là.
Le rayon thrilleur du Leclerc de St Pierre d'Oléron offrait surtout les inévitables Mary Higgins Clark, les 2 ou 3 Cornwell déjà lus et un auteur inconnu (pour moi) suédois, va pour Mankell donc. Je jettes au fond du caddie "la cinquième femme" suivi des croissants, du nutella pour mon neveu très gourmand, de quoi faire un bon apéro et l'indispensable Pineau des Charentes sans qui les vacances ne seraient pas de vraies vacances.
Pendant que les deux garçons faisaient un premier tour à la plage, je profitais de ma solitude pour, sur un transat au soleil dans la petite cour, me plonger dans mon livre. Très loin de Cornwell, Reich and Co, j'ai tout de suite accroché à l'univers du commissaire Kurt Wallander. Il est aux antipodes des personnages glamours et charismatiques, tâtonnant, partant dans de mauvaises directions, mangeant mal et buvant trop.
Dès que je l'ai fini, je me suis attaquée à "Meurtriers sans visage" suivi très vite de "L'homme qui souriait" puis "La lionne blanche", "Le retour du prof de danse", "Les morts de la St Jean" et j'ai terminé au retour "La muraille invisible". Il m'en reste quelques uns à lire... plus tard.
Pour me remercier d'avoir emmené son fils à Oléron, ma belle-soeur m'a envoyé deux livres qui prendront le relais - La maison des célibataires de Jorn Riel, et A livre ouvert de William Boyd, mais là tout de suite, je vais feuilleter le Marie Claire que j'ai acheté pour me redonner un peu l'envie d'être coquette (pffff) et me délecter en finissant le Canard de mercredi. Tout çà au soleil sur mon balcon pour maintenir mon bronzage estival.
5 commentaires:
Bon retour Valérie. J'aime beaucoup aussi le commissaire Wallander, trop humain, si tourmenté. Je crois que mon préféré de Mankell, c'est La lionne blanche, mais je n'ai pas tout lu heureusement.
j'ai lu tous les polars d Mankell, j'ai bcp aimé les chiens de Riga. en lisant sur internet un article sur Mankell, j'ai vu sa photo, c'est amusant elle essemble bcp au commissaire wallander tel que je me le suis imaginé. j'aime aussi le portrait de la société suédoise qu'il brosse . bonne lecture
Meerkat, j'ai beaucoup aimé aussi la Lionne Blanche, celui que j'ai le moins aimé c'est L'homme qui souriait, trop alambiqué à mon goût. Ulyssa, c'est aussi cette Suède que je ne connais absolument pas, mis à part le Voyage de Nils Holgersson qui m'a tellement fait rêver petite, que j'ai aimé découvrir dans ses livres. Les Chiens de Riga semblent très appréciés par les amateurs, et demain j'irais faire un tour à la Fnac pour voir si je les trouve.
Peut-être l'as-tu découverte depuis, ou la connais-tu mais ne l'apprécies pas, mais si jamais, je te conseille Ruth Rendell. Difficile à lacher, aussi.
Oui j'aime beaucoup Ruth Rendell, et j'ai d'ailleurs hésité hier à en acheter un... mais j'ai repris un Vargas histoire de continuer ma découverte.
(cela me fait vraiment plaisir de voir que tu te plonges réellement dans les tréfonds de mon blog Merci)
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