mercredi 24 février 2016

Que Merda !

Il y avait, posés dans la rue, des panneaux amovibles prévenant de travaux prochains et interdisant de ce fait de se garer. Encore toujours des travaux ! Du bruit pour JP, sous sa fenêtre, durant quelques jours.

Puisque particulièrement épuisée depuis la semaine dernière, je me déplace en voiture et, rentrant entre midi et deux et me rappelant les travaux prévus, je me gare sur le parking arrière, rejoins la porte d'entrée à pied. Passant le pignon de l'immeuble

WTF !!!

Pas de machine transperçant l'asphalte non,  mais contre la façade, un début d'échafaudage ! LE fameux ravalement de façade dont on parle depuis pfffff, prévu certes, mais repoussé sans cesse aux calendes grecques.

Doooonc il va falloir tous les soirs fermer les volets ? Débarrasser le balcon des plantes, malles et escabeau ? Vivre sous l'oeil des ouvriers durant des mois ?  La poussière, le martèlement,  le soleil  et la chaîne des Alpes disparus sous les bâches ?

Depuis nous croisons les doigts et prions les dieux des travaux que ce ravalement de façade soit plus rapide que celui de l'immeuble en face qui avait duré plus de neuf mois.

Viendra ensuite la façade arrière, celle où nous avons notre balcon chéri sur lequel se prélasse Chamade en Eté, planté et meublé.

La fin du monde !!!

7 commentaires:

Carole a dit…

Bon courage !
Je l'ai vécu il y a un an, je m'en souviens encore !
C'est fou comme la poussière peut rentrer, même en fermant tout !
Je n'ai pas pu rentrer 2 arbres chez moi car ils sont trop grands, ils ont crevé.
Bon, maintenant la façade est belle mais il faut le passer !

Mel a dit…

Pas pressée que ça se fasse chez nous, alors je compatis. J'espère que les nuisances seront minimales mais j'ai des doutes.

Valérie de Haute Savoie a dit…

Carole, cela a duré combien de temps ?

Mel oui, même si il est vrai que nos balcons tombent en ruine, l'idée de devoir se planquer en raison des risques de cambriolages, j'avoue que je n'aime pas du tout.

Carole a dit…

Cela a duré 3 mois. Tous les gravats tombaient dans une de mes cours.
On devait signaler quand on rentrait ou on sortait, les ouvriers arrêtaient le travail pour nous laisser passer en toute sécurité.
Et quand ils ont piqué la façade, je me suis rendue compte que je faisais une belle allergie à la poussière qui se dégageait des gravats.

DoMi a dit…

On a connu ça il y a quelque sept ans. Ils sont commencé leur installation à la fin de l'été puis se sont arrêtés un bon bout de temps parce qu'il leur manquait quelque chose pour poursuivre. De mémoire le tout a duré pas loin de six mois. Comme mon immeuble est une tour d'une vingtaine d'étages ils ont fait ça en descendant en rappel, sauf qu'ils avaient installé une plateforme en tôle ondulée à hauteur du premier étage, juste sous nos fenêtres. Comme notre coin est très venteux il est arrivé qu'au bruit des bourrasques s'ajoute celui du vent dans la tôle (moins joli que celui du vent dans les saules), au point de nous réveiller ou de nous empêcher de nous endormir…
Depuis, un des joints d'étanchéité se fait régulièrement la malle et on a déjà eu une bonne demi-douzaine d'infiltrations et inondations…
Bon courage !

Dr. CaSo a dit…

Toutes mes condoléances! Je croise les doigts pour que ça se passe rapidement et le mieux possible!

Valérie de Haute Savoie a dit…

Carole trois mois, donc l'été devrait nous laisser le balcon :)

DoMi ouh là, nous aussi sommes au premier étage, donc les derniers servis, mais heureusement pas dans un tour de 20 étages :D

Dr CaSo merci et nous aussi croisons les doigts, mais bon dieu que l'on bouffe déjà de la poussière alors même qu'ils en sont seulement au montage de l'échafaudage :D