Oui lundi, et dieu merci juste trois jours pour se remettre en selle. Les vacances finies, il me faut reprendre le rythme que j'aurai bien cette fois-ci oublié.
Une semaine en Alsace, à lire et redonner à la maison un air un peu plus habité. A force de ne plus y aller autant, elle avait pris un air d'abandon apprécié par les souris et les fouines. Mais nous y avons mis le holà ! Fenêtres grandes ouvertes, chat en liberté, four à pain allumé chaque soir, nettoyage, musique, lecture, tout ceci sentait la vie.
De retour le samedi soir pour être à pied d'oeuvre le lendemain devant les urnes. En tremblant, et souffrant mille morts d'une infection sournoise ayant élue domicile dans l'os de ma mâchoire, nous avons attendu les résultats. Vrai ouf, mais sans l'immense joie naïve éprouvée lors de l'élection de Mitterrand. Trop de haine avait été déversée durant les dernières semaines, et malgré notre retrait alsacien, nous en avions encore le goût infecte dans le cœur.
Il me restait encore une vraie semaine pour flemmarder. J'ai terminé "La tristesse du samourai" déprime assurée, mais très bon livre, puis lu rapidement "Avril enchanté", ravissante histoire un peu surannée pour me plonger enfin dans "le club des incorrigibles optimistes" que tous le monde à lu sauf moi. Il était temps de remédier à cette lacune. J'avais commencé mes vacances avec "Le Chinois" de Mankell, livre que j'avais offert à Noël à mon père et qu'il avait apprécié au point de vouloir lire la série du commissaire Wallander.
Une semaine qui a filé sans laisser de trace, et se termine par un très beau soleil. Quelques plantations sur le balcon, cerfeuil, olivier, épinards et futures salades, le dernier week-end, l'envie de partir loin.
De retour le samedi soir pour être à pied d'oeuvre le lendemain devant les urnes. En tremblant, et souffrant mille morts d'une infection sournoise ayant élue domicile dans l'os de ma mâchoire, nous avons attendu les résultats. Vrai ouf, mais sans l'immense joie naïve éprouvée lors de l'élection de Mitterrand. Trop de haine avait été déversée durant les dernières semaines, et malgré notre retrait alsacien, nous en avions encore le goût infecte dans le cœur.
Il me restait encore une vraie semaine pour flemmarder. J'ai terminé "La tristesse du samourai" déprime assurée, mais très bon livre, puis lu rapidement "Avril enchanté", ravissante histoire un peu surannée pour me plonger enfin dans "le club des incorrigibles optimistes" que tous le monde à lu sauf moi. Il était temps de remédier à cette lacune. J'avais commencé mes vacances avec "Le Chinois" de Mankell, livre que j'avais offert à Noël à mon père et qu'il avait apprécié au point de vouloir lire la série du commissaire Wallander.
Une semaine qui a filé sans laisser de trace, et se termine par un très beau soleil. Quelques plantations sur le balcon, cerfeuil, olivier, épinards et futures salades, le dernier week-end, l'envie de partir loin.
5 commentaires:
tiens c'est avec le club des incorrigibles optimistes que j'avais passé mes premiers jours dans l'océan indien :)
contente que vous ayez passé de bonnes vacances :) Moi, j'attends fin juin avec impatience pour pouvoir (j'espère!) en prendre aussi!
Oui C. je m'en souviens, j'avais d'ailleurs eu envie de le lire, et puis, la douceur de l'ile m'avait rendue un peu flemme :)
Dr CaSo, oui super vacances et je t'en souhaite d'aussi reposantes. Et évidemment si tu reviens sur tes terres de naissance, je serai ravie de te revoir.
Grâce à toi je suis tombée sur un Mankell et je me suis régalée avec "les chaussures italiennes". C'était les vacances dernières. Et je réalise que je ne fais pas encore parti du club des optimistes... je le note dans un coin. J'espère que tu es remise !
Fay, Mankell est vraiment à chaque fois très bon. Pour la tristesse du Samourai, il faut vraiment avoir le moral, c'est un livre très dur.
Oui je suis presque remise, le retour au bureau s'est bien passé, et je fini ce soir les antibios ;)
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