En début de semaine dernière il me semblait sortir d'une sorte de coma à chaque réveil et la perspective du changement d'horaire me faisait craindre le pire. Et puis jeudi soir je me suis écroulée à vingt et une heure trente, le lendemain j'étais fraiche dès cinq heures, a y'est j'étais prête pour les horaires d'été.
Hier soir le soleil brillait encore lorsque je suis sortie du bureau, et le parc grouillait d'enfants en trottinette ou jouant au ballon.
Deux tout petits livres ce week end. Le premier m'est tombé des mains, et pourtant le titre avait tout pour me plaire Dire au revoir de Gaëtan Roussel. J'aurais dû me méfier, j'aime bien Louise Attaque mais les paroles de ses chansons sont répétitives et pour le livre c'est pareil. Des phrases répétées tout au long des nouvelles sans la musique qui fait passer beaucoup de chose. Bref, je vais déposer ce petit livre dans ma bibliothèque de rue.
L'autre m'a fait rire, rire aux éclats alors que le fond est terrible. Une mère toxique, bipolaire, qui à soixante ans s'ennuie et téléphone à sa fille. Une femme au téléphone de Carole Fives. On n'entend que la mère, jamais ce que dit la fille au bout du fil. Elle parle de sa vie, sa recherche de l'amour sur des sites de rencontre, son ennui, maudit sa fille pour lui déclarer son amour le coup de fil suivant.
Le week end s'est terminé au soleil, autour d'un couscous préparé dans les règles de l'art par un des artisans avec qui je travaille depuis quelques années, et dégusté avec sa bande de potes très jeunes et très chaleureux et deux de mes deux collègues.
Hier soir le soleil brillait encore lorsque je suis sortie du bureau, et le parc grouillait d'enfants en trottinette ou jouant au ballon.
Deux tout petits livres ce week end. Le premier m'est tombé des mains, et pourtant le titre avait tout pour me plaire Dire au revoir de Gaëtan Roussel. J'aurais dû me méfier, j'aime bien Louise Attaque mais les paroles de ses chansons sont répétitives et pour le livre c'est pareil. Des phrases répétées tout au long des nouvelles sans la musique qui fait passer beaucoup de chose. Bref, je vais déposer ce petit livre dans ma bibliothèque de rue.
L'autre m'a fait rire, rire aux éclats alors que le fond est terrible. Une mère toxique, bipolaire, qui à soixante ans s'ennuie et téléphone à sa fille. Une femme au téléphone de Carole Fives. On n'entend que la mère, jamais ce que dit la fille au bout du fil. Elle parle de sa vie, sa recherche de l'amour sur des sites de rencontre, son ennui, maudit sa fille pour lui déclarer son amour le coup de fil suivant.
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| une femme au téléphone |
