Je n'ai pas bien compris pourquoi c'était bientôt la fin du monde, mais au moins nous serons en famille. G. revient exprès de Grenoble et C. sera de retour de son périple Berlin Paris.
Chamade semble d'ailleurs particulièrement sereine, si l'on songe à la fameuse prescience des animaux à poils et autres.
Ce qui est curieux tout de même, c'est de lire ici et là, que les gens se préparent à cette fin du monde en amassant de la nourriture. Si on meurt on n'aura plus faim non ?
Nous, la veille, nous allons tester la raclette multi-fromages. Il paraît que le bleu de bresse, le reblochon, le lard sous la morbier, c'est une tuerie, et tant qu'à faire, si l'on doit mourir, autant mourir rassasiés.
Au bureau le calme est revenu, bien que les départs de locataire s'accélèrent en fin d'année, que le chômage éjecte de plus en plus de monde de Genève, nous rions beaucoup, aux larmes bien souvent, et chaque jour est illustré par une chanson un poil débile mais qui met tous le monde de très bonne humeur.
Nous avons d'ailleurs cette année un vrai sapin qui sent bon et qui est joliment décoré. Les chocolats et le champagne tardent à venir, mais c'est aussi bien puisque depuis quelques mois la moindre molécule de chocolat me déclenche des maux de têtes matinaux.
C. sait maintenant quel sera son prochain ancrage, Melbourne où elle dispensera des cours de français à des étudiants australiens et G. se réjouit déjà d'aller y faire un tour.
Et sinon hier je suis allée au bureau EN ROBE qui plus est, au dessus du genou. Il m'aura donc fallu 55 ans pour accepter mes rondeurs !
Ce qui est curieux tout de même, c'est de lire ici et là, que les gens se préparent à cette fin du monde en amassant de la nourriture. Si on meurt on n'aura plus faim non ?
Nous, la veille, nous allons tester la raclette multi-fromages. Il paraît que le bleu de bresse, le reblochon, le lard sous la morbier, c'est une tuerie, et tant qu'à faire, si l'on doit mourir, autant mourir rassasiés.
Au bureau le calme est revenu, bien que les départs de locataire s'accélèrent en fin d'année, que le chômage éjecte de plus en plus de monde de Genève, nous rions beaucoup, aux larmes bien souvent, et chaque jour est illustré par une chanson un poil débile mais qui met tous le monde de très bonne humeur.
Nous avons d'ailleurs cette année un vrai sapin qui sent bon et qui est joliment décoré. Les chocolats et le champagne tardent à venir, mais c'est aussi bien puisque depuis quelques mois la moindre molécule de chocolat me déclenche des maux de têtes matinaux.
C. sait maintenant quel sera son prochain ancrage, Melbourne où elle dispensera des cours de français à des étudiants australiens et G. se réjouit déjà d'aller y faire un tour.
Et sinon hier je suis allée au bureau EN ROBE qui plus est, au dessus du genou. Il m'aura donc fallu 55 ans pour accepter mes rondeurs !