vendredi 2 décembre 2016

et ça continue encore et encore


Une journée de formation inintéressante passée à écouter lire des textes de loi par un animateur qui n'anime pas grand chose. Mais une journée loin de l'agence, entre collègues, et un bon repas sous le Parmelan, sans penser au travail qui s'amoncelle au bureau et qui sera difficilement rattrapable, c'est un petit moment à savourer.
Surtout que le soir, à peine de retour à l'agence, la nouvelle collègue a donné sa démission, immédiate. De quatre débordées nous ne serons donc plus que trois... noyées !

Ma nuit a une fois de plus été plus éveillée qu'endormie, à cette allure c'est vingt ans que je vais me prendre dans les dents. Je tourne, tourne dans le lit, impossible de déconnecter du bureau, malgré mes tentatives de méditation, yoga nidra, plantes diverses et même mug de lait chaud au miel. A deux heures du matin je démissionnais de façon fracassante devant JP désolé, quatre heures de sommeil plus tard je m'arme de courage en espérant que pour une fois la direction prendra un peu ses responsabilités et ne nous lâchera pas dans les dents le poste vacant.

Avec tout ça je n'ai pas encore envoyé le St Nicolas à mes enfants, mon bureau déborde de paperasse, le linge s'amoncelle et ma P.A.L. attend que je m'y attèle.


5 commentaires:

Anne a dit…

Aïe! Je compatis.

L'azimutée a dit…

Oh, plein de courage, Valérie !

Peut-être le moment de se plonger dans ce livre : http://www.editions-tredaniel.com/rien-foutre-p-4098.html
;)

Valérie de Haute Savoie a dit…

J'ai dormi comme un bébé cette nuit et je repars toute neuve Anne, rien de tel pour revoir la vie en rose :D

L'azimutée, je vais jeter un oeil sur ton lien :)

Mel a dit…

Je vois que c'est partout pareil, dans ton domaine. Notre chargée de copropriété (c'est le bon terme ?) est partie à notre grande consternation parce qu'elle n'en pouvait plus de la charge de boulot et de la pression alors qu'elle avait déclaré un mois plus tôt vouloir rester jusqu'à la retraite !

Valérie de Haute Savoie a dit…

Mel je dois reconnaitre que la direction a assuré à fond sur ce coup là. Je crois qu'ils ont pris conscience qu'il fallait nous ménager pour nous garder :)